Je cherchais en fin de saison une façon d’améliorer encore les rendements de mes plants de tomate pour la saison suivante. C’est en arrachant mes pieds que j’ai vu le moyen d’agir. Pour les pieds en pleine forme, le système racinaire était beaucoup plus développé que pour les plants qui avaient été plantés dans la partie « ancienne » du jardin et qui avaient une triste mine. Le système racinaire pour le plant de tomate est très important. C’est d’ailleurs pour cela que j’effectue des rempotages successifs pour développer la rhizosphère (La rhizosphère correspond au volume de sol soumis à l’influence des racines de la plante). C’est à ce niveau qu’il y a les échanges entre le sol et les racines.
Autour des racines, dans le sol gravit un tas de microorganisme. Certains sont libres dans le substrat et d’autres sont étroitement liés aux racines (en symbiose). Ces microorganismes peuvent favoriser la croissance des végétaux, ils sont dits « PGPR » pour Plant Growth Promoting Bacteria mais ils peuvent être pathogènes ou délétères (sans interactions bonne ou mauvaises).
Lorsque les microorganismes contribuent à la stimulation de la croissance ou induisent une meilleure résistance à des stress diverses, ils sont considérés comme des biostimulants.
Les microorganisme peuvent être des bactéries ou des champignons.
Bonjour Pascale,
En tant que fan de tomates, c’est un plaisir de vous lire et de découvrir votre blog.
Continuez comme ça !
Amitiés du 17
Bonjour,
Merci pour vos encouragement.
Bien à vous.